Cher journal,
Voilà des mois que je n'ai pas pris le temps de noircir tes pages de mes doutes, mais se soir, alors que je suis mélancolique, j'en profite pour me remémorer comment tout cela à commencer... t'ai-je déjà tout raconté en détail ? je crois que non. Je ne connais rien de ma vrai famille, je me rappel simplement, qu'il y a longtemps, ma mère adoptive m'a raconter comment elle m’avait "trouvé". C'était un matin frai d'avril, elle m’avait dis être sortit dehors, afin de passer a l'orphelinat. Elle venait d'avoir les droits nécessaires pour adopter un enfant, alors, c'est toute excitée qu'elle était sortit de chez elle.
Elle ne mit que quelques minutes a arriver, et une foi sur place, elle s'empressa d'allez faire un tour afin de "choisir" celui ou celle qu'elle adopterait. Plusieurs enfants étaient venu vers elle mais celui qui attira son attention, était le seul a ne pas venir justement vers elle, et a rester en retrait à jouer avec un vieux jouer tout abimer. Ce garçon c'était moi. Elle c'était penchée vers moi et m'avais souris, en me demandant pourquoi je n'essayais pas d'allez vers les gens. J'étais un petit garçon de deux ans, mais je lui avais répondus " parce que les gens me font peur. Mon papa a tellement serrer le cou de ma maman qu'après elle ne bougeait plus ". Et oui, en effet, j'avais été témoin du "meurtre" de ma mère par mon père violent, je me souviendrais ce cet événement tragique toute ma vie. Un soir alors que mon père était rentré ivre mort comme a son habitude, une dispute avait éclater entre lui et ma mère. J’avais assisté, sans pouvoir rien faire à ce qu’il avait fait, il avait ensuite fuit la maison, moi, je m'étais caché sous mon lit, car le brouhaha de tout ça m'avait fait peur… j'avais beau être tout petit, j'étais conscient de ce qu'il avait fait. Touchée par mes paroles, et par ma révélation, elle m'avais pris dans ses bras, et emmener avec elle. Elle put me ramener a la maison quelques temps plus tard, et je pus enfin apprécier ne vie normale, et paisible. J'habitais à deux pas de Manhattan, de l'autre côté du fleuve Hudson. C'est bien plus tard que j'ai atterri à Neptune
Mon enfance fut heureuse, mes parents adoptifs ont vraiment été parfait, si bien que j'en oubliais presque qu'ils n'étaient pas mes vrais parents. Je les considère maintenant comme tels, même si il arrive que nous ne soyons pas sur la même longueur d'onde. Bien que, au jour d'aujourd'hui nous ne nous adressons plus la parole... Pourquoi tu va me dire, et bien... C'est compliqué. Je t'en reparlerai un peut plus bas.
La période la plus marquante dans tout ça fut sans aucuns doutes mon adolescence... J'ai commencé a faire pas mal de bêtises, et a ne plus travailler correctement à l'école, préférant aller m'amuser, sécher les cours, et même, draguer les filles, et oui déjà. J'ai foiré mes études du coup, et vers 19 ans, j'ai décidé d'arrêter, et d'aller bosser. C'est a peut près a cette période la que je me suis brouillé avec mes parents. Étant un "cancre", je les aient déçut, et ils m'on foutu dehors, en disant que j'étais un bon à rien. Je me suis retrouver sans rien, à la rue, jusqu’à ce que je trouve un travail de livreur de journaux, me permettant d'avoir un petit studio riquiqui dans le Bronx. Ce n'était vraiment pas top, et c'était miteux, mais au moins j'avais un toit sur la tête.
Nous voilà à la partie clé de mon histoire. Tu sais, la partie qui me fait tant souffrir à chaque fis que je te la raconte. La sienne... celle de Summer. Punaise... a chaque fois que je perle d'elle, ou pense à elle, j'ai le cœur qui ce décompose, en millions de morceaux. A l'heure ou j'écris ces lignes sur tes pages blanches, des larmes coulent sur mes joues. Elles ne sont pas nombreuses, mais elles sont énormes... Comme la rancœur et le dégout de moi même que j'éprouve. J'ai été la pire des ordures, pourtant, pas un jour ne passe sans que je ne pense à elle. Je ne peux pas vivre sans elle... Je t'ai déjà raconté notre première rencontre ? Je ne sais plus. C'était il y a 8 ans déjà. Je me souvient encore de sa bouille, elle était si belle. C'était alors que je rentrait de ma tournée matinale. Elle dessinait dans le parc, absolument tout ce qu'il lui passait sous le nez. Cela m'avait a la foi amusé et intrigué, et après ça, je voulais tout savoir d'elle. Je l'ai invitée à sortir, et la suite, tu l'a connait déjà.
Je sais que ce que je lui ai fait est atroce. L'abandonnée alors qu'elle portait notre bébé, tout ça parce que j'étais trop bête, lâche et parce que j'avais la trouille... Chaque jours qui passe, j'y pense, et j'ai envie de me cogner. Je pense tout le temps à elle, je n'arrive pas a vivre sans elle... Je veux la récupérée a tout prix, je veux assumer mes responsabilités, sinon ça va me tué...
Après l'avoir lâchement abandonnée alors qu'elle était enceinte de notre bébé..., aimerais tu savoir ce que j'ai fait ? Car il me semble qu'après celà je n'ai plus noirci tes pages de mes pensées pendant un moment. La vérité c'est que je n'ai rien fait. Je suis allé à droite à gauche, la Louisiane, le Canada, et même, la Suède, sans jamais me posé, et je n'ai jamais fréquenter d'autres femmes. C'est comme si dans le fond je savais que je ne pouvais pas vivre sans elle, et que, malgré mes conneries, je savais que je reviendrai toujours vers elle, mon seul amour, la femme de ma vie. Celà fait quelques jours que je suis à Neptune, en Californie. J'y suis, car j'ai appris que Summer y était,net je compte bien la récupérée.
Bon... voilà, je pense que je t'en est assez raconter pour aujourd'hui. Je reviendrais bientôt noircir tes pages, soit en sur, je vais pour le moment te remettre ou tu étais, cacher ou personne ne pourra te trouver.
!